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22 décembre 2011 4 22 /12 /décembre /2011 09:09

 

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BON ET HEUREUX NOÊL POUR SEGOLENE ROYAL QUI TERMINE CETTE TRISTE ANNEE 2011, AVEC UN NOUVEAU SUCCES DÛ A SON COMBAT MENE SANS CESSE CONTRE LA POLUTION DU LITTORAL, APRES PLAINTES SUR PLAINTES POUR SA REGION, ELLE OBTIENT DES DOMMAGES ET INTERÊTS POUR RETABLIR LE BON ORDRE ET LA JUSTICE ENVERS CEUX QUI ONT SUBIS DES SOUFFRANCES MORALES ET DES DEGÂTS MATERIELS, VOIR LA PERTE DE LEUR HABITATION LORS DE LA TEMPÊTE XYNTIA ...


AVEC CETTE PRESIDENTE DE REGION, LES HABITANTS N'ONT QU'A SE GLORIFIER DES TALENTS POLITIQUES DE CETTE FEMME DEBOUT, QUE NOUS REGRETTONS NOUS FRANCAIS, D'AVOIR PERDUE AVEC ELLE L'ESPERANCE DE LA VOIR ELUE PRESIDENTE DE LA REPUBLIQUE EN 2012, DU MOINS POUR CETTE FOIS, EN 2017 TOUT SERA POSSIBLE, SURTOUT SI ELLE OCCUPE PENDANT LE PROCHAIN QUINQUENAT UN POSTE DE PREMIER PLAN, SI, CE N'EST CERTES PAS AVEC F.HOLLANDE, QUI EST TROP A DROITE, MAIS POURQUOI PAS, AVEC J.L. MELENCHON, DONT LES PROJETS DE CHANGEMENT DE POLITIQUE DU SYSTEME, AVEC LE RETOUR DE L'HUMAIN AU CENTRE DE NOTRE SOCIETE, LA FINANCE AU SERVICE DE L'ECONOMIE REELLE NATIONALE, SON PROJET RESSEMBLE BEAUCOUP PLUS AU PROGRAMME QUE DEPLOYAIT SEGOLENE ROYAL AVANT LA PRIMAIRE SOCIALISTE.

 

SEGOLENE ROYAL PEUT PARTIR TRANQUILLE EN CAMPAGNE POUR LES LEGISLATIVES DE 2012, PERSONNE AVANT ELLE N'AVAIT REUSSI DE TELLES TRANSFORMATIONS, DANS UNE REGION QUI EST REPUTEE MAINTENANT DANS LE MONDE ENTIER ...


En 2012 la France aura surtout besoin pour la gouverner, d'un président et d'un chef de gouvernement moderne capable  d'un réel changement, il faudra des personnes fortes, qui ne se laissent pas manipuler, par de faux conseillers, où économistes prêts à  éloigner nos dirigeants du but du chemin qu'ils se sont fixés, pour rendre une France prospère, avec un changement radical de notre modèle économique et social, sans rigueur ni austérité, facile à mettre en marche, mettant ainsi fin aux déficits et aux dettes énormes créées sous le gouvernement Sarkosy depuis 2007, il ne faut pas perdre de vue que Sarkozy rendra la France en pleine faillite, ce n'est pa F.Hollande attaché au libéralisme financier, au marché unique, au consevatisme de la vieille école politique, qui pourra nous sortir de ce bourbier ...  


Pourquoi ne serait-ce pas J.L.Mélenchon qui deviendrait notre Président de la République, avec Ségolène Royal premier ministre ? A eux deux ils seraient capables avec une autre politique dans une VIe République, de rendre la prospérité à la France d'abord, ensuite ce régime pourrait être adopté par l'Europe, comme au lendemain de la seconde guerre mondiale où tout fut à reconstruire. Nous eûmes droit à la prospérité des trente glorieuses, avec ces deux là tout serait remis sur pied pour une nouvelle prospérité...

 

L'Espérance en ce début d'année, ne se trouve surtout pas dans les sondages, faut il faire justement le contraire de ce qu'ils nous propose comme vedettes électorale : Sarkozy Hollande, tous les deux pour la continuité du système...

 

Avec Hollande, ce sera la même politique néo libérale, avec l'austérité, et la rigueur, avec un mélange de conservatisme à l'ancienne politique du Jospinisme, rien d'enthousiasmant, plutôt consternant, car au fur et à mesure que F.Hollande avance dans sa campagne plus, le programme réel du PS disparît, on se demande pourquoi ils ont voté pour liu a la primaire socialiste ?

Nous savons que F.Hollande fait partie des membres des élites de droite UMP du "Siècle" qu'il prend ses conseils près des économistes des même conseillers que Sarkozy, comme Alain Minc ... Rien de tout cela n'est rassurant pour notre avenir prochain.

 

Choisissons en 2012 le changement sans austérité, ni rigueur, le développement réside dans ce radical changement, avec Mélenchon et Ségolène Royal ...

 

Tous les deux, sont capables d'un large rassemblement d'union nationale de toutes les gauches, avec Montebourg, mais aussi E.Joly, J.L. Bianco, MJ.Buffet, ou même Fiterman un trait d'union avec les générations, mais aussi Pierre Laurent bien d'autres encore ... un saupoudrage léger avec un bon ministère offert à Dupont Aignan, très modéré de droite ...

 

 

Erika : la Région Poitou-Charentes reçoit 2,39 millions d’euros de dommages-intérêts

La région Poitou-Charentes a annoncé, ce mercredi, avoir reçu 2,39 millions d’euros de dommages-intérêts, douze ans après la pollution côtière due au naufrage du pétrolier Erika au large du sud Bretagne. Le 12 décembre 1999, l’Erika avait fait naufrage au large de la Bretagne avec 37 000 tonnes de fioul à bord et une marée noire avait massivement touché les côtes bretonnes et vendéennes, et à moindre titre, la Charente-Maritime, dans la région Poitou-Charentes.

 

« Une couche de pétrole de 5 à 30 cm d’épaisseur a recouvert certaines zones du littoral sur plusieurs mètres de large, touchant les côtes de Charente-Maritime »,rappelle le conseil régional dans un communiqu2;

 

La région rappelle avoir « affirmé tout au long du procès sa volonté de voir résolue la question des responsabilités tant pénales que civiles des auteurs du délit de pollution maritime afin que soit réparé l’ensemble des préjudices subis tant sur le plan matériel qu’écologique et plus généralement pour que soient défendus et protégés le patrimoine naturel et l’environnement ».

 

Dans ce cadre, la Région vient de recevoir 2,39 millions d’euros de dommages-intérêts. « Comme elle s’y était engagée, poursuit le communiqué, Ségolène Royal (la présidente de région) a confirmé que les fonds reçus seront affectés aux actions en faveur du littoral, des habitants et des professionnels de la mer ». 

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17 décembre 2011 6 17 /12 /décembre /2011 05:32

 203502 206101462756447 2371665 n

 

Dans son édition de ce lundi, Le Monde consacrait un dossier à la crise, à partir des contributions de plusieurs éminents experts. Tous s’accordent pour dire que les mesures proposées actuellement par le couple franco-allemand sont de mauvaises solutions qui nous conduisent droit dans le mur. Tous s’accordent à dire que d’autres solutions existent.

Ainsi, pour les économistes James K. Galbraith et Aurore Lalucq, les dirigeants européens sont en train de commettre une « erreur historique en refusant d’entendre des idées de bon sens ». Ils se sont enfermés dans le dogme de la discipline budgétaire, faisant fi du sort des plus faibles « au mieux considéré comme un dommage collatéral, voire comme un mal nécessaire ». Ils ne s’attèlent en revanche pas aux causes d’une crise avant tout bancaire, « aggravée par des idées économiques réactionnaires, une architecture (de la zone euro) défectueuse et un climat politique toxique ».

(Lire l’article complet : Sauvez les citoyens avant les banques ! ICI )

Même son de cloche chez Paul Seabright de l’Ecole d’Economie de Toulouse, qui qualifie la rigueur de « potion amère et inefficace ». Il s’appuie sur différentes études pour mettre en garde contre les effets négatifs démontrés des politiques d’équilibre budgétaire sur l’activité économique. S’il ne nie pas les problèmes d’équilibre budgétaire, il explique en revanche que le calendrier d’une telle politique est crucial : « si on l’entreprend au milieu d’une récession, l’effet symbolique permettant de reconquérir la confiance des marchés risque de s’effacer derrière l’effondrement de l’activité »

(Lire l’article complet : La rigueur, potion amère et inefficace. ICI )

Enfin, Martin Wolf, éditorialiste économique au Financial Times, considère que se focaliser sur l’austérité budgétaire risque d’entraîner de nouvelles crises. Il déconstruit l’idée selon laquelle ce serait l’indiscipline budgétaire qui aurait conduit à la crise de la zone euro, idée pourtant martelée quotidiennement par nombre de responsables politiques. Il rappelle ainsi qu’avant la crise, la situation de l’Irlande, de l’Espagne ou de l’Estonie, tant sur le plan du déficit que de la dette, était très nettement meilleure que celles de l’Allemagne et de la France. D’ailleurs, à l’exception de la Grèce, tous ces pays aujourd’hui en difficulté dans la zone euro respectaient pourtant la règle limitant à 3 % du PIB le déficit budgétaire.

 
Pour lui, il s’agit avant tout d’une « crise des balances de paiement », et la solution à la crise de la zone euro passe d’abord par l’amélioration de la compétitivité économique dans la zone euro.

(Lire l’article complet : L’échec de « Merkozy » ICI )

Alors, jusqu’à quand se poursuivra cet aveuglement coupable des dirigeants européens, et en particulier celui de Nicolas Sarkozy ?

 

 

Ségolène Royal

 

 

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17 décembre 2011 6 17 /12 /décembre /2011 03:02

 

une-autre-voie-pour-l-europe-la-tribune-de-francois-holland.png Vendredi 16 décembre,François Hollande a développé, dans une tribune publiée surlemonde.fr, sa vision de l'Europe et ses propositions pour sortir de la crise.

«Une autre voie pour l'Europe»

L'Union européenne affronte la plus grave crise de son existence. Elle tient moins à la force des marchés qui menace la zone euro, qu'à la faiblesse de la gouvernance politique pour la conjurer.

 


Le 9 décembre, le compromis de Bruxelles à l'occasion du 16e sommet européen depuis le déclenchement de la défaillance grecque en a été une nouvelle illustration. Je partage la nécessité d'adresser de nouveaux signes de crédibilité par des procédures de contrôle des engagements budgétaires des Etats. Mais je constate que la proclamation d'un nouveau traité n'a pas permis de restaurer le calme sur les marchés et d'instaurer la confiance chez les citoyens. Car cet accord n'a été capable ni de répondre à l'urgence, ni de relancer l'Europe.


Personne ne sait d'ailleurs quelle en sera la traduction juridique: une révision des traités européens ? L'adaptation de dispositions existantes ou la finalisation de mécanismes déjà prévus par la Commission ? Un accord intergouvernemental sur de bonnes pratiques mais avec quel rattachement à l'ordre juridique communautaire ?

 
Je le sais d'autant moins que le président-candidat se garde bien de consulterl'opposition. Il en appelle à l'union nationale, ce qui est cocasse venant de celui qui n'a cessé d'entretenir des divisions, et se prive, sur des questions essentielles, de l'avis de ceux qui pourraient être demain en charge du pays.

 


Une révision des traités est un exercice difficile. Et même périlleux, a fortiori si le texte lui-même suscite la controverse. En tout cas, sa seule annonce, même célébrée par des communiqués de presse de victoire, n'a pas été de nature à leverles incertitudes. Une semaine après, tout semble être revenu comme avant. Et c'est un constat d'insuffisance qui est dressé. Je souhaite évidemment que les moyens financiers décidés à Bruxelles dissipent les inquiétudes avec le concours de la Banque centrale européenne. C'est l'intérêt de la France, comme de l'ensemble de la zone euro.

 


Je tiens néanmoins à exprimer mes réserves. Car ce projet de traité, parce qu'il est étroit, flou et punitif, entretient une dangereuse confusion entre la nécessaire convergence des politiques économiques dans la zone euro et la généralisation de l'austérité.


Et je vois, non sans m'en étonner, la résignation de l'un de ses initiateurs. Nicolas Sarkozy lui-même déclare, au détour d'une phrase, ne pas faire un drame de la dégradation de la notation de notre pays par les agences de notations. C'est dire sa confiance ! Le sauvetage du triple A était hier considéré comme un "trésor national" et le talisman d'une bonne gestion. Sa perte, aujourd'hui, est jugée "tout sauf insurmontable". Il y a là un terrible aveu d'échec.

 


La réduction des déficits et de la dette est un impératif. Si les Français m'accordent leur confiance en mai 2012, je demanderai au Parlement de voter une loi de programmation des finances publiques sur le retour à l'équilibre de nos comptes avant 2017. Cet effort sera réalisé dans la justice sociale. Mais rien de sérieux ne sera possible sans la croissance; elle est la grande oubliée de l'accord de Bruxelles avec même le risque d'accentuer la récession, au point d'en inquiéter les marchés eux-mêmes.


La démocratie est l'autre grande absente. Comment admettre la mise à distance des institutions communautaires et, notamment, du Parlement européen ? Est-ce au prix d'un plus grand rôle donné à la Cour de justice européenne ? Ce serait inacceptable. Quelle sera la place des Parlements nationaux ? Pour toutes ces raisons, j'ai indiqué que j'examinerai avec la plus grande attention le détail de cet accord au fur et à mesure de son écriture, et j'ai exprimé ma volonté de renégocierpour rééquilibrer et compléter le futur traité dans l'esprit du pacte de responsabilité, de gouvernance et de croissance que je réclame, avec mes amis de la gauche européenne.


Je souhaite des moyens efficaces d'action sur les marchés, conjuguant ceux de la Banque centrale européenne, dans le respect de son indépendance, et d'un fonds de secours financier puissamment doté pour décourager la spéculation. La zone euro doit se munir d'une véritable force de frappe financière. Je suis favorable à la mise en place d'euro-obligations, pour mutualiser au moins une partie de notre dette. Enfin, je demande des moyens de soutien à la croissance: les interventions de la Banque européenne d'investissement dans les secteurs d'avenir, un budget européen renforcé par des ressources nouvelles (notamment la taxe sur les transactions financières) pour conduire des politiques industrielles, en faveur de la conversion écologique ou dans les nouvelles technologies.


Comment comprendre que l'on se soit privé de ces éléments indispensables à la sortie de crise ? Les peuples le demandent. Même le président du Conseil européen Herman Van Rompuy le propose.
L'enjeu n'est pas seulement la sortie de la crise. Il est aussi de refonder le projet européen. Celui-ci ne peut se réduire à l'austérité et à une simple coordination intergouvernementale, sans ambition. Les peuples s'en détourneraient définitivement. Cette refondation ne peut être entreprise qu'à partir d'un processus de convergence économique, d'harmonisation fiscale et sociale, de grands programmes européens de croissance, d'un nouvel élan démocratique. Tout cela donnera naissance à ce "fédéralisme des projets" que j'entends discuter avec nos partenaires et amis européens pour le proposer au peuple français et demain à l'Union européenne tout entière.

 

"Si je suis élu président de la République, je renégocierai cet accord"

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15 décembre 2011 4 15 /12 /décembre /2011 08:27

 


Photographie illustrant le contraire du dicton «L'argent ne pousse pas sur les arbres».

Photographie illustrant le contraire du dicton «L'argent ne pousse pas sur les arbres». TODD MUSKOPF/NEWSCOM/SIPA

DECRYPTAGE - Dans le cadre de la campagne de la Ligue ROC, qui va comparer les programmes des candidats à la présidentielle sur le thème de la biodiversité, 20 Minutes revient chaque semaine sur un enjeu. Cette semaine, comment crise économique et crise écologique sont liées...

Plans d’austérité, agences de notation, sauvetage de l’euro… Et si les économistes faisaient fausse route en soignant les symptômes plutôt que la maladie? Au milieu du marasme financier, un aspect essentiel semble avoir été oublié: la raréfaction des ressources naturelles pourrait bien être une des causes majeures de la crise. Raison de plus pour prendre soin de nos écosystèmes, selon les écolo-économistes.

«C’est la première crise écologique majeure à laquelle l’humanité est confrontée»

«La crise n’est pas économique et financière, c’est la première crise écologiquemajeure à laquelle l’humanité est confrontée». Pour Jacques Weber,  économiste, anthropologue et président de la Fondation pour la Recherche sur la Biodiversité (FRB), il ne fait aucun doute que la situation économique mondiale découle d’un déséquilibre naturel: «Au déclenchement de la crise en 2008, le pétrole était à 140 dollars le baril et les cours des matières premières agricoleset industrielles s’envolaient. Cela a perturbé les anticipations des investisseurs et déclenché la crise des subprimes. La spéculation a joué, la bulle immobilière aurait fini par éclater, mais c’est la première fois que l’on a une vraie rareté physique des ressources.»

Préserver la biodiversité et ne pas surexploiter les écosystèmes ne seraient donc pas un luxe, mais simplement une façon d’assurer la pérennité de nos économies. «Dire que la cause de la crise est écologique n’est pas tout à fait vrai, nuance Emmanuel Delannoy, directeur de l’institut Inspire (Initiative pour la promotion d’une industrie réconciliée avec l’écologie et la société). Mais la crise économique fait oublier que les entreprises utilisent des ressources naturelles pour leur activité et dépendent de la biodiversité à travers la fourniture d’une multitude de services.»

Créer de la richesse en restaurant les écosystèmes

Cultures pour l’industrie agro-alimentaire, minéraux et métaux pour l’industrie, pétrole pour les transports, bois pour le bâtiment, refroidissement des centrales nucléaires par les fleuves… tous les secteurs dépendent plus ou moins directement de la nature.  «Il faut passer d’un monde dans lequel la richesse se crée par la dégradation des écosystèmes à un monde dans lequel elle se crée par leur amélioration ou leur maintenance, préconise Jacques Weber. Si on ne rend pas la consommation de ressources naturelles extrêmement coûteuse, je ne vois pas comment on va s’en sortir». 

A l’avenir, il faudra donc faire mieux avec moins. «Il faut augmenter la productivité des ressources naturelles, poursuit Emmanuel Delannoy.L’économie circulaire, qui fait appel à des ressources recyclées, et l’économie de fonctionnalité qui dissocie la possession et l’usage du bien (via la mutualisation ou la location) permettraient de produire plus de valeur par unité de produit.» «On pourrait aussi remplacer les charges sur le travail par une taxation des prélèvements dans la nature, complète Jacques Weber. Ce serait un monde dans lequel les écosystèmes pourraient se reconstruire sans affecter la rentabilité des entreprises.»

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13 décembre 2011 2 13 /12 /décembre /2011 06:29
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11 décembre 2011 7 11 /12 /décembre /2011 11:09

 

LA FRANCE N'A PAS DE SENS SANS TOUS CES ACCENTS VENUS DE TOUS LES COINS DU MONDE QUI RESONNENT COMME UNE DOUCE MUSIQUE ...


LA, SE TROUVE SON ENRICHISSEMENT, ON NE PEUT SE PASSER DES AUTRES, SI NOUS VOULONS SURVIVRE A LA CRISE QUI NOUS MARTELLE ET FRAPPE CHAQUE JOUR PLUS VIOLENTE A NOTRE PORTE ...


DOUCE FRANCE CHER PAYS DE NOTRE ENFANCE, NOUS TE PORTONS DANS NOS COEURS, NOUS ACCEPTONS DE VIVRE EN TOUTE FRATERNITE   AVEC TOUS CEUX VENUS D'AILLEURS, POUR CONSTRUIRE, PARTICIPER A NOTRE VIE COMMUNE ECONOMIQUE ET SOCIALE, EN APPORTANT LEURS EXPERIENCES LEUR SAVOIR, POUR NOTRE PROPRE DEVELOPPEMENT ...

 

EVA JOLY EST DE CELLE QUE NOUS APPRECIONS, POUR SON COMBAT CONTRE LA CORRUPTION REPUBLICAINE, MAIS AUSSI POUR SA LUTTE POUR UN UNIVERS PLUS PROPRE, UN ENVIRONNEMENT PUR, POUR UNE ECONOMIE SOLIDAIRE, DU DEVELOPPEMENT DURABLE VERT, ECOLOGIQUE... POUR UNE PLANETE PLUS PROPRE POUR NOS ENFANTS ET LES GENERATIONS FUTURES.

 

PARTAGEZ AVEC MOI CETTE VIDEO, QUI MERITE DÊTRE VISIONNEE ...

 La France résonne de tous les accents du monde Eva Joly a été maintes fois critiquée pour son accent. Voici la réponse de tout EELV et de sa candidate à l’élection présidentielle

"Je veux être la candidate des accents du monde etdu sang mêlé"  par evajoly

 

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11 décembre 2011 7 11 /12 /décembre /2011 00:40
LES TRENTE CINQ HEURES NE SONT PAS COUPABLES ...  
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Accusées de tous les maux par le gouvernement, les 35 heures affichent pourtant un bilan plutôt positif : elles n'ont pas alourdi les coûts salariaux des entreprises ni pénalisé la productivité des salariés, ont créé des emplois, même si leur mise en oeuvre a pesé sur les finances publiques.

Le débat sur les 35 heures n'a jamais cessé. Mais il rebondit, sous l'impulsion des plus hautes autorités de l'Etat. Ainsi, le Président de l'Assemblée nationale, dans l'introduction au Rapport de la mission d'information publié le 9 novembre sur La compétitivité de l'économie française et le financement de la protection sociale, écrit que « le choc des trente-cinq heures, concomitant du décrochage français, [a été] facteur de désorganisation du tissu industriel comme de pénibilité au travail (…) »

 

Le 28 octobre dernier, le chef de l'Etat, sur France 2, en parlait comme d'une « catastrophe sociale et [d'] une catastrophe économique », les accusant implicitement d'être à l'origine des délocalisations, de la désindustrialisation et même d'une « pression sur les salaires ». Passons sur le fait que l'argumentaire présidentiel paraît contradictoire : soit les 35 heures ont incité certaines entreprises à délocaliser en raison des hausses du coût salarial horaire qu'elles ont provoquées, soit elles ont abouti à faire pression sur les salaires, mais il n'est pas très logique de les accuser des deux maux à la fois. Dans ce procès, examinons plutôt les faits. C'est ce que je me propose de faire ici, à partir des données existantes, principalement celles de la Comptabilité nationale, qui a le mérite de présenter une vue d'ensemble.


Le partage de la valeur ajoutée

Il convient de la mesurer « nette », c'est-à-dire après déduction des impôts, des éventuelles subventions d'exploitation et de la « consommation de capital fixe » (l'amortissement économique correspondant à l'usure effective et à l'obsolescence des équipements), de manière à ne retenir que ce qui est partageable entre le travail et le capital. Pour l'ensemble des sociétés non financières, en 1997, avant que la décision de passer aux 35 heures soit prise, le partage de cette valeur ajoutée est le suivant : 20,6 % vont au capital (excédent d'exploitation) et 79,4 % au travail salarié. En 2002, année où la loi est devenue obligatoire pour toutes les entreprises de plus de 20 salariés, le partage passe à 19,6 % et 80,4 %, soit un transfert d'un point de valeur ajoutée nette du capital au travail, soit 6 milliards de l'époque (environ 7 milliards en euros de fin 2011). Incontestablement, la loi sur les 35 heures a donc provoqué une augmentation relative du coût salarial, de l'ordre de 450 euros par salarié et par an. Mais cette augmentation a été transitoire et, dès 2007, la situation antérieure est rétablie, voire un peu améliorée pour les sociétés non financières : 21,1 % pour le capital, 78,9 % pour les salariés. Dans l'ensemble, les 35 heures sont donc digérées sur le plan des coûts salariaux. Cette digestion s'est-elle faite au détriment de l'emploi ?

L'évolution de l'emploi salarié

Ce dernier, dans les sociétés non financières, est passé (en équivalent temps plein) de 11,5 millions (1997) à 13,5 (2003), puis a continué ensuite à progresser plus lentement pour atteindre 14 millions en 2007. Même s'il n'est évidemment pas question d'attribuer aux 35 heures toute cette progression, la croissance économique ayant sans doute joué le rôle essentiel[1], la RTT a aussi participé à l'amélioration conjoncturelle, en renforçant la baisse du chômage. Toutefois, dans l'industrie, principale branche exposée à la concurrence étrangère (tant pour le marché intérieur qu'à l'exportation), les effectifs n'ont pas augmenté de la même manière : faible progression entre 1997 et 2001 (passant de 3,92 millions en 1997 à 3,96 millions en 2001, toujours en équivalent-temps plein), puis déclinant ensuite assez rapidement (3,54 millions en 2007 [2] soit une perte de plus de 420 000 emplois). Cette baisse d'effectifs dans l'industrie est-elle imputable aux 35 heures ? On peut en douter, car, au cours des années précédentes, sur le même laps de temps (soit de 1991 à 1997), le nombre d'emplois dans l'industrie était passé de 4,4 millions à 3,92, soit une diminution relative (- 11 %) similaire à celle observée dix ans plus tard, entre 2001 et 2007 (-12 %). Certes, aucune « loi » n'impose que les effectifs fondent ainsi mécaniquement dans l'industrie. Mais il s'agit seulement de souligner que cette fonte n'a pas été plus rapide au cours des années 2000 qu'elle ne l'avait été au cours des années 1990, et que les 35 heures ne l'ont pas accélérée : elles ont même eu le mérite de stopper l'hémorragie d'emplois industriels durant quelques années.

La désindustrialisation - si telle est bien l'explication de cette baisse des effectifs - n'est pas née avec les 35 heures : le pire que l'on puisse dire à leur propos est qu'elles ont maintenu une tendance à la désindustrialisation qui leur préexistait.


L'évolution de la productivité

Toutefois, même cette explication ne semble pas très convaincante. Car la valeur ajoutée des branches industrielles (mesurée « brute », donc sans retirer la consommation de capital fixe, qui n'est pas disponible par branche), a progressé de 25 % entre 1997 et 2007 (en volume, c'est-à-dire après déduction de la hausse des prix à la production). Puisque, pendant cette même période, l'emploi (en équivalent temps plein) a diminué de 10 %, la productivité par tête a donc progressé de 39 %, soit au rythme annuel moyen de 3,3 %. Au cours des dix années précédentes (1987-1997), la progression de la valeur ajoutée brute (toujours en volume) avait été un peu moindre (+ 22 %), et les gains de productivité par salarié avaient été de 40 %. On ne constate donc pas de différence sur ce point entre la période 1987-1997 et la période postérieure à 1997 : dans les deux cas, les gains de productivité par tête l'ont emporté sur la progression de la valeur ajoutée, ce qui a provoqué des destructions d'emplois. En revanche, ce qui est important, c'est que la productivité horaire a augmenté nettement plus rapidement à la suite des 35 heures que cela n'avait été le cas au cours de la décennie précédente. En effet, comme la durée annuelle du travail par salarié a reculé de 6,5 % entre 1997 et 2007 contre un recul de 1 % entre 1987 et 1997, la productivité horaire a progressé de 48 % durant la dernière période, contre 40 % durant la décennie précédente. Il est assez remarquable de constater que, sur ce point, l'intégralité ou presque de la réduction de la durée du travail a été compensée par un surcroît de productivité horaire : les 3,54 millions de travailleurs de l'industrie de 2007 ont, malgré les 35 heures (ou peut-être grâce aux 35 heures, aux réorganisations et à la moindre fatigue qu'elles ont provoquée) produit en moyenne 69 000 euros de valeur ajoutée industrielle par tête en 2007 contre 50 000 (en euros constants) dix ans auparavant (+ 38 %). Et contre 37 000 vingt ans auparavant, soit + 39 % de progression entre 1987 et 1997. Les entreprises industrielles, dans l'ensemble, ont réussi à effacer les 6,5 % de baisse effective du temps travaillé.


L'évolution de l'excédent brut d'exploitation (EBE)

Cet EBE mesure la valeur ajoutée que conserve le capital. Cet excédent ne doit pas être confondu avec le profit, puisqu'il doit permettre de couvrir les charges que sont notamment les intérêts des emprunts et le renouvellement des équipements. Son évolution montre si la situation financière des entreprises industrielles s'améliore ou se dégrade. Entre 1987 et 1997, l'EBE a progressé en valeur de 25 %, Durant la décennie suivant, la progression de l'EBE a été de 18 %. Il n'y a donc pas eu dégradation, mais simplement ralentissement. Ce dernier ne doit rien à la progression des salaires, au contraire : la masse totale des rémunérations, cotisations sociales incluses, a nettement plus progressé entre 1987 et 1997 (+ 29 %) qu'au cours de la décennie suivante (+ 16 %). C'est plutôt la compression des marges, du fait de la concurrence accrue, qui est à mettre en cause : alors que les prix à la production progressaient de 7 % dans l'industrie entre 1987 et 1997, ils ont diminué de 7 % durant la décennie suivante. Les 35 heures - dans l'industrie - n'ont pas modifié le partage travail/capital, quasiment demeuré stable sur l'ensemble de la période, puisque le total des rémunérations a progressé à peu près au même rythme que l'excédent brut d'exploitation (alors que les premières progressaient un plus vite que le second durant la période 1987-1997). Ce ne sont pas les 35 heures qui ont affaibli l'industrie française, puisqu'elles ont été compensées par des gains de productivité plus rapides, mais la concurrence, qui a contraint à diminuer les prix de vente unitaires pour faire face à la mondialisation.


L'évolution du Smic

Le Smic est un salaire horaire. Si l'on ne voulait pas que la réduction de la durée légale du travail entraîne une baisse proportionnelle du salaire mensuel des salariés payés au Smic, ou à un niveau proche, il fallait donc augmenter le Smic horaire. Ce fut d'abord au moyen d'une machinerie complexe - les « garanties mensuelles de rémunération » -, puis, en 2005, enfin, par une hausse du Smic. Ce dernier est donc passé (en brut) de 6,01 € de l'heure en 1997 à 8,44 € en 2007. Soit + 40 %, se décomposant de la façon suivante : + 17 % pour compenser la hausse des prix, + 11 % pour compenser la diminution de la durée légale du travail, et + 8 % correspondant à la hausse du pouvoir d'achat du salaire horaire brut moyen des ouvriers durant cette période (puisque le Smic est indexé sur moitié de cette progression, majorée de temps à autre par des « coups de pouce » gouvernementaux dont la finalité est que le pouvoir d'achat du Smic progresse à peu près comme celui des ouvriers payés davantage que le Smic). Seule cette dernière composante a donc constitué une progression de pouvoir d'achat. Etait-ce raisonnable ? Du point de vue patronal, sans doute non, puisque cela revenait à payer 8 % de plus des salariés travaillant 11 % de moins. Mais du point de vue des salariés concernés, ne pas assurer à ces derniers une progression de pouvoir d'achat au moins égale à celle des ouvriers aurait abouti à leur faire payer la note des 35 heures. La solution a donc consisté à réduire sensiblement les cotisations sociales patronales. Le dispositif existait déjà depuis 1993, et avait été modifié à plusieurs reprises. Début 1998, un salarié payé au Smic permettait à son employeur de bénéficier d'une réduction correspondant à 18 % du salaire brut, et cet allègement diminuait progressivement jusqu'à s'annuler à hauteur de 1,3 fois le Smic. Martine Aubry élargit sensiblement le dispositif, portant l'allègement à 26 % (du Smic brut), avec une dégressivité annulant l'allègement à 1,7 fois le Smic, mais pour les seules entreprises ayant passé un accord de RTT agréé. En 2003, le Gouvernement Raffarin étendit cet allègement à toutes les entreprises (y compris les moins de 20 salariés, qui, alors, avaient la possibilité de n'appliquer les 35 heures qu'au terme d'un délai supplémentaire de deux ans), puis le porta à 28 % du Smic brut en faveur des petites entreprises. Si bien que, en 2007, les allègements de cotisations sociales patronales représentaient un coût de 20,5 milliards d'euros, supporté par les finances publiques, dont un peu de moitié (9,3 milliards) résultaient de dispositions antérieurs aux 35 heures[3]. On peut estimer aujourd'hui le coût spécifique des 35 heures à une douzaine de milliards. Ce chiffre est à rapprocher du surcoût salarial engendré pour les entreprises du fait de la hausse du Smic destinée à compenser la réduction du temps de travail, et qui est estimé à 14 milliards. Autrement dit, pour les entreprises, la hausse du Smic a été neutralisée à peu près entièrement, mais par le biais d'une socialisation qui pèse désormais lourdement sur les finances publiques[4]. En d'autres termes, le surcoût du Smic n'est pas supporté par les entreprises (qui ne peuvent donc s'en plaindre), mais par les contribuables. In fine, cela peut peser sur l'économie, mais proportionnellement pas davantage que la suppression de la taxe professionnelle (coût : 12 milliards), la détaxation des heures supplémentaires (coût : 4,5 milliards), la baisse de la TVA sur la restauration (coût : 3 milliards) ou la réforme de l'ISF (coût : 1,6 milliards). Curieusement, au moins du côté de la majorité, ce sont les 35 heures qui sont accusées de creuser le trou du déficit public, pas les autres mesures pourtant aussi budgétivores.

Au total, pour l'ensemble de l'économie comme pour les branches industrielles, il faut arrêter de faire des 35 heures le bouc émissaire de nos difficultés. Elles ont incontestablement suscité des difficultés. Mais surtout dans la fonction publique où, à l'exception du monde enseignant, elles ont été accordées sans aucune contrepartie, comme une mesure sociale, le blocage des embauches étant supposé amener les services à effectuer des gains de productivité, alors que cela a débouché sur une dégradation du service public, notamment (mais pas seulement) à l'hôpital. Pour en revenir aux entreprises, certes, les données quantitatives utilisées sont globales, et il est bien possible que certaines entreprises aient souffert des 35 heures : mais cela signifie alors que d'autres en ont bénéficié, puisque, dans l'ensemble, on ne voit guère d'effets négatifs. Dans les branches industrielles comme dans le reste de l'économie privée, les 35 heures ont été « digérées » par des gains de productivité et un recul (limité et transitoire) de la part du capital dans l'ensemble de la valeur ajoutée. Et aujourd'hui, la crise a fait bien plus reculer cette dernière que les 35 heures ne l'ont jamais fait. La conclusion est limpide : si l'on veut améliorer le sort des entreprises, de l'emploi et de l'économie en général, sortir de la crise est bien plus important que supprimer les 35 heures, qui ne sont plus un handicap, si tant est qu'elles en aient jamais été un.


Denis Clerc
Article Web - 07 décembre 2011
 
 NOTES
  • (1) L'Insee attribue aux 35 heures un effet net positif de 350 000 emplois. Voir dans Economie et statistique n° 376-377 (juin 2005) l'article d'Alain Gubian, Stéphane Jugnot, Frédéric Lerais et Vladimir Passeron, « Les effets de la RTT sur l'emploi : des estimations ex ante aux évaluations ex post ». Mais ce chiffre n'inclut pas les effets indirects, liés notamment à la forte reprise de la demande issue de la diminution sensible du chômage.

  • (2) Auxquels il conviendrait d'ajouter 300 000 emplois intérimaires dans l'industrie, chiffre en très légère baisse sur la période 2001-2007.

 

  • (3) Ce qui n'empêche pas certains de tout mettre la note sur le dos des 35 heures.

  • (4) L'un des objectifs de la suppression de la durée légale hebdomadaire du temps de travail au bénéfice d'une fixation par branche ou par entreprise, qui fait partie du programme de l'UMP, est d'ailleurs de supprimer cette réduction. Le surcoût qui en résulterait pour les entreprises serait reporté sur les consommateurs par le biais d'une TVA sociale, qui réduirait d'autant le montant des cotisations sociales acquittées par les entreprises. Le problème, néanmoins, est que l'actuel allègement de cotisations sociales bénéficie aux employeurs seulement jusqu'à 1,7 fois le Smic, alors que le basculement des cotisations sociales vers une TVZ sociale bénéficierait à tous les employeurs dans des proportions similaires.

 

 

 

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9 décembre 2011 5 09 /12 /décembre /2011 08:06
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7 décembre 2011 3 07 /12 /décembre /2011 08:22

 

François Hollande à Berlin, le 5 décembre 2011.

François Hollande à Berlin, le 5 décembre 2011.REUTERS/TOBIAS SCHWARZ

 

Au-delà des nécessités économiques, la crise européenne est aussi l'occasion pour l'UMP de faire de la politique et de fustiger le parti socialiste à partir d'un contre-exemple allemand souligné à l'envi.

En cause, pour l'UMP, le refus du PS de voter la "règle d'or", qui inscrirait dans la Constitution la nécessité de ramener les finances publiques à l'équilibre, la règle s'imposant ensuite de manière impérative à toutes les décisions exécutives et à tous les votes du Parlement.

 LE RETOUR DE LA "RÈGLE D'OR"

La règle d'or que le gouvernement voulait faire voter cet été proposait en fait derendre constitutionnelle l'actuelle loi triennale de programmation des finances publiques qui détermine une "trajectoire budgétaire", qui prévoit déjà, depuis 2008, un retour à l'équilibre. Transformée en "loi cadre d'équilibre", elle imposerait à toutes les lois de finances votées durant cinq ans de respecter ce parcours de retour à l'équilibre. Mais la trajectoire elle-même, et donc l'effort demandé sur les comptes publics, serait défini par une loi organique. Le Parlement gardait donc la possibilité de déroger à la "règle d'or".

La proposition, portée par Nicolas Sarkozy à l'été, avait été rendue caduque par le basculement à gauche du Sénat, qui donnait aux socialistes la possibilité derepousser le vote de cette règle.

Mais dans l'accord franco-allemand proposé lundi 5 décembre par Nicolas Sarkozy et Angela Merkel, la "règle d'or" fait son retour. Paris et Berlin ont annoncé parmi leurs propositions l'adoption d'une "règle d'or renforcée et harmonisée au niveau européen", que les pays de la zone euro s'engageraient à mettre en place pourrassurer les marchés et améliorer la gouvernance économique européenne. Le traité que préparent les deux pays, et qui pourrait être voté en mars, inclurait cette règle, qui serait garantie par la Cour européenne de justice.

Une occasion pour le chef de l'Etat de tacler l'opposition en France et particulièrement François Hollande. "Comme apparemment il a passé un moment avec les socialistes allemands, je n'aurai pas besoin de le convaincre, puisque les socialistes allemands (...) ont voté la règle d'or en Allemagne", lançait Nicolas Sarkozy. Argument repris, mardi 6 décembre sur Europe 1, par Jean-François Copé : "Le SPD a voté la règle d'or en Allemagne. Les socialistes allemands sont beaucoup plus ouverts qu'en France".

LE "SCHULDENBREMSE" ALLEMAND N'ENTRERAIT EN APPLICATION QU'EN 2016

Pourtant, l'idée, déjà martelée durant l'été, est discutable. La règle d'or votée en Allemagne avec les voix du SPD n'est en effet pas celle que la France compteraitmettre en place.

La Loi fondamentale allemande prévoit déjà, depuis 1949, une règle générale disant qu'il faut limiter l'endettement. Mais le Bundesrat l'a renforcé en 2009 par une autre loi, baptisée "Schuldenbremse" ("frein à l'endettement") et votée par la droite (CDU/CSU) et la gauche (SPD), mais pas par les Verts (Grünen) ni la gauche de la gauche (Die Linke).

Elle prévoit la réduction progressive, à partir de 2009, du recours à l'emprunt, avec pour horizon l'année 2016, où "le recours à l'emprunt de l'Etat fédéral corrigé des variations conjoncturelles ne devra pas dépasser 0,35 pour cent du produit intérieur brut", selon le ministère allemand des finances.  Première nuance avec la France : la "règle d'or" est donc prévue pour s'appliquer à partir de 2016 et non immédiatement. Au niveau des Etats ("Länder"), la règle ne s'appliquerait que plus tard encore : en 2020.

Ensuite, cette règle évoque le cas du déficit structurel, et met à part les "variations conjoncturelles". Elle porte donc sa propre exception : en situation d'urgence, l'Allemagne s'est laissé la possibilité de recourir à l'endettement. La loi précise : "en cas de catastrophe naturelle ou de situation d'urgence exceptionnelles qui échappent au contrôle de l'Etat et compromettent considérablement les finances publiques, ces limites supérieures de l'emprunt peuvent être dépassées" La "règle d'or" n'est donc pas '"gravée dans le marbre".

L'Allemagne pourrait avoir à modifier cette loi pour l'harmoniser avec les autres "règles d'or renforcées" qui seraient mises en place dans les pays de la zone euro, si le traité proposé par Angela Merkel et Nicolas Sarkzoy est adopté.

Reste surtout à savoir ce que contiendrait la "règle d'or renforcée" évoquée par Paris et Berlin. Sigmar Gabriel, le leader du SPD, critiquait récemment Angela Merkel, qu'il accusait de ne pas prendre assez de mesures à même de ramener le pays sur la bonne trajectoire budgétaire. Le mouvement n'a cependant pas tranché sa position quant au projet de traité porté par Angela Merkel.

Samuel Laurent
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4 décembre 2011 7 04 /12 /décembre /2011 03:28

CONSERVONS NOTRE SOUVERAINETE NATIONALE, NOTRE PATRIE, NOTRE REPUBLIQUE LIBRE, NOTRE INDEPENDANCE ECONOMIQUE ET SOCIALE, NE CONFIONS PAS A D'AUTRES NATIONS  ENCORE MOINS A L'ALLEMAGNE QUI NOUS A ASSEZ OCCUPPE NOTRE SOL PENDANT LA SECONDE GUERRE MONDIALE, C'EST DE CE PRINCIPE QUE NAÏTRAIT UN TROISIEME CONFLIT MONDIAL DRAMATIQUE POUR LE MONDE ENTIER ... 

 

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CE QUE SOUHAITE SARKOZY D'AILLEURS C'EST BIEN CELA, ET QUE CEUX QUI S'EN OFFENSENT, COMME CHEVENEMENT, OU COMME MONTEBOURG, NE SOIENT PAS TRAITES DE GERMANOPHOBES, PARCE QU'ILS DISENT LA VERITE,LA VERITE EST NOTRE LIBERTE... CONTRAIREMENT A CEUX AUSSI QUI SOUTIENNENT SARKOZY DANS UNE PROPAGANDE EFFREINEE, CE MOT EST MAINTENANT LÂCHE, CAR DES 1933, C'EST CE GENRE DE PROPAGANDE  DE CELUI QUI VOULAIT GOUVERNER LE MONDE, HITLER, ETAIT DEJA LANCEE COMME CELLE DE SARKOZY L'EST AUJOURD'HUI LES CONFLITS MONDIAUX COMMENCENT TOUJOURS AINSI ...

 

CE QUE NOUS PROPOSE SARKOZY QUI S'IMAJINE LE SAUVEUR ET LE MAÎTRE DU MONDE, EST EXACTEMENT LA MÊME CHOSE... NE NOUS Y TROMPONS PAS,C'EST D'ÊTRE, DEVENIR SOUS LA SOUMISSION ALLEMANDE DE LEUR DICTATEUR A.MERKEL, NOUS SUBIRONS LES MÊMES EFFETS D'UNE GUERRE ATTROCE, QUI POUR L'INSTANT N'EST QU'ECONOMIQUE COMME LA CRISE DE 1929, QUI S'EST ACHEVEE PAR LA SECONDE GUERRE MONDIALE, C'EST TOUJOURS DE L'EST QUE SONT VENUES LES CONFLITS MONDIAUX ...

 

FAISONS LE CONSTAT SUIVANT POUR MIEUX COMPRENDRE ...


D'AUCUN DE NOS GOUVERNANTS ACTUELS EUROPEENS MÊMES MONDIAUX N'ETAIENT NES EN 1936 OU 1939 LORS DE LA DEUXIEME GUERRE MONDIALE, ENCORE MOINS EN 1929, LORS DE LA GRANDE CRISE ECONOMIQUE QUI EST LA MÊME QUE CELLE QUE NOUS VIVONS AUJOURD'HUI, IL N'Y A QUE L'EPOQUE QUI N'EST PLUS LA MÊME, MAIS LES PREMISSES SONT LA, EXACTEMENT LES MÊMES ET SARKOZY NE MANQUE PAS DE NOUS FAIRE DOMINES PAR L'ALLEMAGNE COMME AUTREFOIS, SOUS LA DICTATURE D'ANGELA MERKEL ... PLUS QUESTION DE DONNER LA PAROLE AUX PEUPLES ASSERVIS PAR SES DOMINANTS PREDATEURS QUI NE CHERCHENT QU'A SAUVER LE CAPITALISME, SANS NE RIEN RECONNAÏTRE DES GRAVES ERREURS DE LEUR POLITIQUE NEO LIBERALE QUI NOUS A CONDUITS LA OU NOUS SOMMES DANS CETTE CRISE ECONOMIQUE ORGANISEE ...

 

A CELA AJOUTONS QUE LE TRAITE DE LISBONNE DEVRAIT DISPARAÏTRE POUR RENDRE A TOUS LES PEUPLES D'EUROPE LEUR INDEPENDANCE, LEUR AUTONOMIE ECONOMIQUE ET SOCIALE, LEUR SOUVERAINETE, LEUR LIBERTE D'ACTION. AUCUNE NATION NE MERITE D'ETRE DOMINEE NI OCCUPPEE MÊME ECONOMIQUEMENT PAR L'ALLEMAGNE, NI PAR AUCUN AUTRE PAYS D'AILLEURS.

 

D'AUCUN DES REPRESENTANTS MEDIATIQUES, NI DES INSTITUTS DE SONDAGES, N'ETAIENT NES EN CES ANNEES SI AFFREUSEMENT DOULOUREUSES, MAIS CHACUN REPEND SA PROPAGANDE SARKOZYENNE POUR NOUS CONDUIRE, AUX MÊMES EFFETS DE CETTE TRISTE EPOQUE.

 

CONSERVONS A TOUT PRIX, NOTRE SOUVERAINETE, NOTRE ESPRIT REPUBLICAIN, NOTRE INDEPENDANCE D'UNE PATRIE NATION, FIERE DE SES RESISTANTS DE CES SOLDATS MORTS POUR CETTE PATRIE, NOUS OFFRANT AINSI LES VRAIES VALEURS DE NOTRE REPUBLIQUE, BAFOUEES AUJOURD'HUI PAR LE MONARQUE SARKOZY.

NOS VALEURS REPUBLICAINES DE LIBERTE D'EGALITE DE FRATERNITE, OBTENUES GRÂCE A CES SOLDATS CES RESISTANTS   QUI NOUS ONT OFFERTS AUSSI DES ACQUIS SOCIAUX, UN MODELE SOCIAL, QUI IL EST VRAI, EST MORIBOND, MAIS C'EST A NOUS FRANCAIS ET PAS A L'ALLEMAGNE D'EN FONDER UN AUTRE, DE LE TRANSFORMER ET NON A L'ALLEMAGNE, LA DICTATURE ALLEMANDE NOUS CONDUIRA COMME LORS DE LA CRISE EN 1929 VERS UN CONFLIT MONDIAL ASSURE COMME LE REPETE MELENCHON,  AUSSI AFFREUX QUE CELUI DE 1939 -45 ... 

LES MEDIAS PROPAGANDISTES DE LA POLITIQUE DE SARKOZY, FERAIENT BIEN D'INTERROGER LEURS PARENTS ET GRANDS PARENTS QUI COMME MOI ONT VECU CE DEUXIEME CONFLIT MONDIAL ATTROCE ...

 

FRANCOIS HOLLANDE QUI SERA, SI IL EST PRESIDENT, CELA N'A RIEN DE CERTAIN, SERA LUI, SANS AUCUN DOUTE SOUMIS COMME SARKOZY A GENOUX DEVANT LE DICTATEUR DE L'EUROPE: A.MERKEL, IL N'AURA  SANS DOUTE PAS LA STATURE ASSER FORTE, POUR  RENONCER, REPOUSSER, CETTE DOMINATION ALLEMANDE ... IL FAUDRA A LA FRANCE UN PRESIDENT FORT, QUI SACHE IMPERATIVEMENT SAVOIR REFUSER TOUT CE PIEGE SCANDALEUX ET HONTEUX POUR LA FRANCE, QUI FUT OCCUPPEE PAR L'ALLEMAGNE EN DES TEMPS POUR NOUS INNOUBLIABLES;

LA FRANCE AURA BESOIN  D'AVOIR D'UN PRESIDENT FORT, CAPABLE AVEC FERMETE DE DIRE NON ET NON A CETTE DOMINATION ALLEMANDE, QUITTE A SE RETIRER PENDANT CINQ ANS DE CETTE EUROPE EN CRISE.

 

IL FAUT QUE CHAQUE NATION POUR SE RECONSTRUIRE ET PAYER SA DETTE SANS LE TRAITE DE LISBONNE, NI SOUS LA SOUMISSION D'AUCUN AUTRE, RETOUVE SA LIBERTE DE TRANSFORMER SA POLITIQUE ECONOMIQUE ET SOCIALE, SA MANIERE DE REGLER SES DETTES SANS NE PLUS EMPRUNTER, COMME LE FAIT EN CE MOMENT LA BELGIQUE.

 

IL VAUT MIEUX PERDRE L'EURO QUE DE TOMBER DANS CE PIEGE D'ENVAHISSEMENT PAR L'ALLEMANDE DE NOTRE SOUVERAINETE ECONOMIQUE, NOUS N'EN SORTIRONT JAMAIS VAINQUEURS CETTE FOIS ...


POURTANT D'AUTRES SOLUTIONS EXISTENT POUR S'EN DEPÊTRER, DE CETTE POLITIQUE NEO LIBERALE FINANCIERE AU SERVICE DES PLUS RICHES ...


"UNE AUTRE POLITIQUE" EST POSSIBLE COMME L'A DIT MAINTES FOIS SEGOLENE ROYAL, IL SUFFIT DE REPRENDRE NOTRE SOUVERAINETE, CHANGER NOTRE SYSTEME ECONOMIQUE ET SOCIAL, C'EST A CHAQUE NATION DE RECUPERER SON AUTONOMIE NATIONALE, DE CHANGER DE SYSTEME A SA GUISE, MAIS SURTOUT PAS COPIER SUR LE MODELE ALLEMAND, COMME VEUT NOUS L'IMPOSER SARKOZY...

AUTREFOIS NOUS AVIONS NOTRE MONNAIE : LE FRANC, ET NOUS AVONS TOUJOURS REUSSI A NOUS TIRER D'AFFAIRE LORSQUE NOUS ETIONS EN DIFFICULTE ECONOMIQUE, NOUS FRANCAIS NOUS AVONS LA POSSIBILITE DE CONSERVER NOTRE INDEPENDANCE ECONOMIQUE TRES FACILEMENT, IL SUFFIT DE CHANGER NOTRE MODELE ECONOMIQUE ET SOCIAL, DE REMETTRE L'HUMAIN AU CENTRE DE NOTRE SOCIETE, LA FINANCE AU SERVICE DE L'ECONOMIE, NOUS NOUS  APPERCEVRONS AINSI QUE NOUS POURRIONS DANS CES CONDITIONS REMBOURSER TOUS NOS EMPRUNTS ET DETTES TRES RAPIDEMENT EN CREANT UN BOUM ECONOMIQUE, CAR LA CROISSANCE SERAIT LA, SANS QU'IL N'Y AIENT NI RIGUEUR NI AUSTERITE A PERPETUITE ...


APPELONS LES SAGES, CEUX QUI ONT VECUS COMME RESISTANTS COMME SOLDATS COMBATTANTS POUR NOTRE LIBERTE, QU'ILS VIENNENT NOUS DIRE CE QUE NOUS RISQUONS A COUP SUR DANS CE SYSTEME SOUS DOMINATION ALLEMANDE,QU'ILS NOUS DISENT/ CE QU'ILS EN PENSENT: S.HESSEL E.MORIN, INSPIRONS NOUS DE CES SAGES EXPERIMENTES, POUR MAINTENIR LA PAIX ECONOMIQUE, SOCIALE, VENUE DE CEUX QUI SOLDATS, RESISTANTS, ONT COMBATTUS POUR NOTRE LIBERTE POUR NOTRE MODELE SOCIAL QUE CHAQUE NATION DOIT PRESERVER A TOUT PRIX,; NE LAISSONS PAS AGIR SARKOZY NOUS IMPOSER CETTE DOMINATION ALLEMANDE, QUI NOUS CONDUIRA INEXORABLEMENT A UN CONFLIT MONDIAL. EXPATRIONS NOUS SI NECESSAIRE DE CETTE EUROPE DEVENUE DANGEREUSE, SOUS LES PRESSIONS DE SARKOZY ET DE MERKEL, QUI ONT BRADEES A LA MONDIALISATION SOUS FORME DE PRIVATISATIONS FINANCIERES, NOS STRUCTURES, NOS ACQUIS SOCIAUX ... NOUS ETIONS PLUS HEUREUX AVANT DANS CETTE EUROPE SANS MERKEL, SANS SARKOZY ... COMMENCONS PAR VIDER DE SA SUBSTANCE TOUS CES ELUS EUROPEENS DU NEO LIBERALISME FINANCIER, POUR RETROUVER UNE EUROPE EQUILIBREE QUITTE A REPRENDRE DE NOTRE INDEPENDANCE ECONOMIQUE.


 

iL NOUS FAUDRA DANS QUELQUES MOIS ELIRE UN PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE FORT, CAPABLE DE VOLONTE POUR CHANGER NOTRE MODELE ECONOMIQUE ET SOCIAL, POUR CONSERVER NOS ACQUIS SOCIAUX ET NOTRE INDEPENDANCE ECONOMIQUE, SANS DEPENDANCE ALLEMANDE, DANS UNE NATION PATRIE, LA REPUBLIQUE FRANCAISE DOIT POUR SURMONTER LA CRISE, COMMENCER PAR RECONNAÏTRE LA GRAVE ERREUR, QU'EST CETTE POLITIQUE ULTRA LIBERALE DES MARCHES, CECI POUR DEFINITIVEMENT Y RENONCER  REVENIR A UN AUTRE  ETAT PROVIDENCE, LOIN DES EMPRUNTS CONSTANTS QU'EXIGE LE TRAITE DE LISBONNE QUI NOUS CONDUIRAIENT A UNE AUSTERITE ET UNE RIGUEUR A     PERPETUITE COMME NOUS L'INFLIGE SARKOZY.

COMME DE TRAVAILLER PLUS POUR GAGNER MOINS, ÊTRE CONTRAINT AU TRAVAUX FORCES A PERPETUITE POUR AVOIR UNE RETRAITE TELLEMENT FAIBLE ET MOURIR PLUTÔT, SOUS PRETEXE QUE L'ON EST INCAPABLE DE CHANGER NOTRE SYSTEME ECONOMIQUE, SI FACILEMENT INTERCHANGEABLE, SANS RIGUEUR ET SANS AUSTERITE, CAPABLE COMME AU LENDEMAIN DE LA GUERRE, DE RECONSTRUIRE ECONOMIQUEMENT LA FRANCE QUE SARKOZY AURA CONDUITE A LA FAILLITE TOTALE

 

POUR 'EN SORTIR, IL Y A AUTRE CHOSE A FAIRE QUE D'ÊTRE SOUS LA DOMINATION ALLEMANDE, QUI NOUS CONDUIRAIT INEXORABLEMENT VERS UN TROISIEME CONFLIT MONDIAL ...

 

QUOI FAIRE POUR EN SORTIR ? BIEN PLUS FACILE QU'ON NE PEUT L'iMAGINER 


SORTIR DU TRAITE DE LISBONNE FAUTEUR DE CETTE CRISE.

ABANDONNER CETTE POLITIQUE NEO LIBERALE FAITE POUR LES CAPITALISTES LOIN DU PEUPLE SOUVERAIN.

PERMETTRE A CHAQUE NATION EUROPEENE, DE REPRENDRE SON DESTIN EN MAINS, REPRENDRE  SA LIBERTE, ECONOMIQUE ET SOCIALE, D'EN CHANGER COMPLETEMENT SON MODELE, SANS RIGUEUR, NI AUSTERITE, C'EST ICI QUE RESIDE LA SORTIE DE CRISE ...

A TRVERS CELA NOUS CRERONS UN BOM ECONOMIQUE DIGNE DES TRENTE GLORIEUSES, AVEC UNE CROISSANCE FORTE ET RAPIDE, NOUS PERMETTANT DE R2GLER RAPIDEMENT NOS DETTES SANS AVOIR A EN IMPRUNTER AU FMI NI AUX BANQUES...

 

 EXIGEONS DES REFERENDUMS POUR DES CHOSES AUSSI GRAVES QUE CETTE EUROPE EN CRISE, QUITTONS CETTE EUROPE PENDANT CINQ ANS SI IL LE FAUT, LE TEMPS DE NOUS RETABLIR ECONOMIQUEMENT, AVANT DE ECONSTRUIRE CETTE EUROPE EN COMPLETE PERDITION.

 

LA DICTATURE C'EST DE GOUVERNER SANS L'AVIS DES PEUPLES POUR LES RENDRE SOUMIS A LA MISERE COMME AVANT LA REVOLUTION DE 1789, EN FAIT RIEN N'A CHANGE, ENCORE MOINS LES HOMMES QUI NOUS GOUVERNENT, PLUS FOUS LES UNS QUE LES AUTRES, LA FRANCE DE CE COTE EST VERNIE...

LES MEDIAS EN SONT AUSSI LES RESPONSABLES DE CETTE PROPAGANDE SARKOZYENNE, NE NOUS LAISSONS PAS MANIPULER PAR CES DERNIERS A LA BOTTE DU POUVOIR, CAR SARKO VA TOUT FAIRE CES DERNIERS MOIS DE REGNE POUR NOUS CONDUIRE SOUS CETTE DOMINATION ALLEMANDE, POLITIQUE DU PIRE EST LA... 

L'URGENCE EST DE VIRER sARKOZY, MERKEL VERRA SON JOUR ARRIVE PLUTARD ... POUR LE BIEN DES PEUPLES EUROPEENS.


"Pardonnez moi, d'avoir ecrit cet article en majuscules, mais la gravité de la situation mérite que l'on s'imprègne de cette triste réalité que les médias propagandistes de Sarkozy veulent nous imposer."

 

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